Marc
Forster, un réalisateur, producteur et scénariste germano-suisse.
En 2005, il a eu onze nominations au British Academy of Film and
Television Arts. De plus, un de ses film à remporter un oscar en
2004, il s’agit de Neverland. Dans les années 2000 il a eu
beaucoup de succès, malgré les hauts et les bas du domaines, Marc
est devenue un réalisateur reconnut. Il a eu l'occasion de produire
16 long-métrages, Loungers (1996), La somme de toute chose (2000), À
l'ombre de la haine (2001), Neverland (2004), Stay (2005),
l'incroyable destin de Harold Crick (2006), Les Cerfs-volants de
Kaboul(2007), Quantum of solace (2008), Machine Gun (2011), World War
Z (2013), Imagining Nathan (2013), The Runner (2014), Die Bad (2014),
Red Rising (2015), The Downslope (2016) et finalement All I See Is
You (2016).
World
War Z est un film baser sur une apocalypse ou une grande majorité de
la population est infectée par un virus créant ainsi des zombies.
L’histoire parle de Jerry, un ancien travailleur de l’ONU, et sa
famille. Ils tentent de survive à la vague de zombies qui vient de
débarquer dans leur ville. Ils sont alors rescapés par les anciens
travailleurs de Jerry. En échange de l’asile sur un bateau Jerry
doit les aider a trouver un remède ou une solution pour survive à
cette attaque. Acceptant le marcher Jerry est alors trimbalé un peut
partout dans le monde pour essayer de trouver une solution. Durant
ces nombreux voyages, il réussit à observer les zombies. Grâce à
ses observations, Jerry se retrouve dans un centre de recherche pour
remèdes. Ils créent alors une sorte de virus qui pourrait les
sauver. Risquant sa vie et déjouant plusieurs fois le destin, Jerry
réussit à trouver un remède pour les survivants. Il peut ainsi
retrouver sa famille dans un lieu ou le danger est écarté. Ses
découvertes vont alors changer le monde et sauver des milliers de
vies.
Je
trouve que ce film est un peu trop exagéré. Personnellement je n’ai
pas « 'tripé »'. Ce n’est pas un film que j’achèterais
et je regarderais encore. Les films d’apocalypse ne sont pas ma
force. Par contre, jais beaucoup aimée les moments de suspenses, le
choix des acteurs et les choix de lieux. Malgré tout, je trouve
qu’il manque un peu de sens, je comprends parfaitement ce qui se
passe, mais j’aurais préféré voir la source du virus. Tout au
long de l’histoire, on fait mention des premières personnes
contaminées, mais on ne connaît jamais l’origine du Virus et je
crois que cela aurait pu être une information capitale. Tout se
bouscule, les informations, les événements, il n’y pas de pause
pour des explications. Avec le petit bout montrer en classe je
m’attendais à un peu plus du film et je dois dire que j’ai été
déçu.
- La scène alternée : (temps : 0 h 16 min 40 s — 0 h 17 min 5 s)lorsque Jerry parle au téléphone avec son amie qui travaille pour l’ONU. Lorsque Jerry et sa famille viennent de sortir de l’épicerie. On voit alors la caméra ne changer de personne au moins trois fois durant leur conversation. Elle passe d’un homme à l’autre dans deux situations différentes.
- Gros plant : (temps : 0 h 31 min 51 s — 0 h 31 min 51 s)
- La règle du 180 degrés est respectée (temps : 0 h 55 min 52 s — 0 h 56 min 40 s)lorsque Jerry parle avec le représentant d’Israël. Jerry est toujours à gauche et l’autre est toujours à droite. Il ne franchise donc pas la ligne du regard.
- Traveling arrière : (temps : 1 h 51 min 55 s — 1 h 52 min)lors que Jerry se retrouve dans l’immeuble de recherche. Il réussit à avoir les virus pouvant les sauver et il s’en injecte un pour voir sa théorie et en même temps sauver sa vie. Il marche alors pour aller rejoindre les autres et tous les zombies passe à coter de lui comme s’il n’était pas là. La caméra, lorsqu’on se retrouve face à Jerry, recule de sorte de ne pas le perde de vue.
- Plan rapprocher épaule : (temps : 1 h 55 min 41 s — 1 h 55 min 43 s)lorsque Jerry retrouve sa famille après sa quête, ils s’enlacent et alors la caméra s’approche d’eux pour capter le visage de lui et de sa femme. On les voit à partir de leurs épeules jusqu’au-dessus de leur tête.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire