lundi 5 décembre 2016

Titre : Sin City
Réalisateur : Frank Miller; Robert Rodriguez; Quentin Tarantino
Date de sortie : 2005


Résumer :
C’est une série d’histoire ou le crime est un parti intégrale. Les meurtres, le cannibalisme, le kidnapping et les coups montés sont au rendez-vous. Nous y voyons d’abord l’histoire d’un kidnapping ou une fillette a été enlevée par un maniaque. Ensuite, l’histoire de Marv une brute, un homme sans fois ni lois. Il se fout de la loi et des règles il fait bon lui semble. Nous poursuivons avec l’histoire d’un policier corrompu et d’une ville dirigée par les femmes. Dans cette série d’histoire, on voit certains personnages revenir dans l’histoire suivant tout se suis, mais seulement grâce a un personnage différent a chaque fois!

Éléments du film noir :
  1. la narration : dans la voix off, il y a le cynisme. À plusieurs reprises on mentionne comme au début lorsque le tueur à gages tue la femme il ne se préoccupe que du chèque qu’il va recevoir le lendemain.
  2. La nuit : la majorité des crimes et l’histoire se déroulent le soir avec les jeux d’éclairages et pour donner une touche plus tragique au déroulement du film.
  3. La femme fatale : la femme prénommer Wenndy, la sœur de Goldie. Elle maltraite Marv pour obtenir de lui des informations, pour retrouver le meurtrier de sa sœur. Elle finit par arriver à ses fins.
  4. le crime : la suite de crime que le film comporte, enlèvement, meutes, cannibalisme, etc.
  5. Les tueurs à gages : la présence des deux tueurs à gages au moment ou Marv cherche le tueur de Goldie, et, il y a aussi au début lorsque l’homme tu la femme en rouge, c’était là aussi un tueur a gages.
  6. Le personnage qui cherche la vérité : Marv, il cherche a retrouvé celui qui à tuer Goldie il cherche alors a savoir qui la tuer pour pouvoir assouvir sa vengeance.
  7. Le dutch angle : lorsqu’on se retrouve dans la salle de bain avec un homme cacher dans la douche et un autre aux toilettes. La caméra n’est pas tout à fait en overhead shot, elle a un petit angle vers le bas qui signifie qu’il va se passer quelque chose.
  8. L’apparition du sadisme : lorsque Marv décapite le meurtrier de Goldie, il lui coupe les jambes et les bras sans aucune pitié et comme si ça ne lui dérangeait pas. À chaque fois qu’il y a une attaque le sang revole partout et exagérer.
  9. Le flic corrompu : Lorsque le policier bas une fille et qu’il se rend dans le parti de la ville qui appartient aux filles.les filles fouilles ses poche et découvre que ces un flic.
  10. Le renforcement de l’érotisme : Durant toute l’histoire, on voit des femmes nues, des prostituer.

Critique personnelle :

J’ai plus ou moins aimé le film. Je trouve cela un peu sordide et froid et je n’aime pas trop le genre cinématographique du film noir. Tuer pour faire comme si de rien étais est pour moi un peut comme être inhumain. Par contre, j’aime la logique du film Sin City le fais que tous les personnages sont relier de près ou de loin démontre que le réalisateur a dû bine y penser et prévoir chaque détail. Tout doit fonctionner et tout doit se suivre. Malgré le fais que je n’aime pas le film, je sais reconnaître que les réalisateurs du type de film comme celui-ci doivent mettre un travaille énorme pour que tout fonctionne à la perfection.   

dimanche 27 novembre 2016



Shutter island
Sortie : 2010
réalisateurs
Martin Scorsese

Critique personnelle :
Je n’ai pas vraiment apprécié ce film. Les films noirs pour moi ne sont vraiment pas des films que j’écoute. Je ne les aime pas, pour moi avoir une série de problèmes sans trouver de solution et avoir de la manipulation psychologique n’est pas pour moi attrayant. Par contre, je dois reconnaître que ces films sont bien faits et bien penser. Ils sont d’une complicité extrême, ils sont logiques et on peut y retrouver une grande quantité d’information. Les personnes, qui travaille dessus les films comme ça sont vraiment très bon, car d’après moi travailler dans un monde ou il est question de remise en cause de tous se que le personnage fait doit être assez dure pour l’acteur en question. Il ne faut pas se laisser aller dans le personnage.

Résumer :
Un Marshall de Boston et un coéquipier venant de Seattle. Sont en route vers une île, ou ils doivent enquêter sur la disparition suspecte d’une patiente de l’hôpital psychiatrique. Rendue sur place les deux enquêteurs commencent leur travaille. Leur en quête les mènes à peu d’information et prend une tournure différente. Les deux policiers ont trouvé qu’ils existent un 67 patients, mais l’hôpital ne fais mention que de 66. il est alors question de savoir qui est les 67 patients, et, ou est-il. Ver la fin ont peut voir que l’enquête sur laquelle ils étaient n’est pas ce qu’il pense.

Dix éléments du film noir :
  1. Le personnage principal, le chef inspecteur, on peut dire qu’il a un passé trouble. Sa femme est morte dans un incendie et il pense toujours à elle. Il veut faire vengeance à sa femme est retrouvant celui qui aurais mi le feu intentionnellement.
  2. Les personnages, on y retrouve des Marshalls et des policiers. Ce qui est des personnages typiques du film noir.
  3. Qui est représenté comme étant la traquée. Du début à la fin on voit qu’il se cache des autres, car il y aurait une conspiration.
  4. Il y a la femme fatale qui est représentée par sa femme réelle. Tout o long du film elle tente de sauver son mari.
  5. La musique : je ne saurais dire si elle est réellement JAZZ, mais elle joue un rôle important dans le film ces se qui nous rend mal à l’aise.
  6. Nous avons recours au flash-back lorsque le Marshall se voit avec ses enfants morts dans les bras. Il se voit alors avec sa femme et ses trois enfants morts dans une petite maison à la campagne.
  7. Le film au complet est des intrigues non complété, il y a toujours une suite d’indice pour ensuite terminer avec une conclusion complexe et très psychologique.
  8. On peut aussi voir une touche de sadisme lorsque les techniques médicales sont mentionnées, comme dans la grotte avec la femme médecin. Celle-ci mentionne comment les lobotomies sont exécutées.
  9. On peut voir que la majorité du film se passe la nuit dès qu’il fait noir on y voit très rarement la lumière du jour.
  10. La ville on fait souvent mention de la ville dans laquelle vivait le Marshall, qui est Boston
Filmographie:
      les dent de la mer (1975), Rencontre du troisième type (1977), 1941 (1980), Les Aventures de l’arche perdue (1981), E.T. l’extra-terrestre (1982), Indiana Jones et le Temple maudit (1984), la couleur pourpre (1985), Empire du soleil (1987), Indiana Jones et la dernière croisade (1989), Always (1989), Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet (1991), Jurassic Park (1993), la liste de Shindler (1993), Le Monde Perdus : Jurassic Park (1997), (1997) Amistad, (1998) Il faut sauver le soldat Ryan, (2001) A.I Intelligence artificielle, (2002) Minority Report, (2002) Arrête-moi si tu peux, (2004) Le Terminal, (2005) La Guerre des mondes, (2005) Munich, (2008) Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, (2011) Les Aventures de Tintin : Le secret de La Licorne, (2011) Cheval de guerre, (2012) Lincoln, (2015) Le Pont des Espions, (2016) Le Bon Gros Géant.
Résumer :
C’est l’histoire de la vie d’un cheval qui a fait la rencontre de jeune homme, ils sont devenus l’un pour l’autre, un ami, un frère. Albert le jeune homme vit dans une famille peu fortunée qui doit vende parfois ses biens pour réussir a payer leurs dettes. Un jour Joey est vendu à l’armée, pour ces raisons. Albert démoli par cet événement veut à sont tour s’engager pour rester avec sont cheval, à cause de sont âge sa demande est rejeter. Ces alors que la croisade de Joey commence, ces débuts en cheval militaire, pour ensuite retourner en animal de ferme, pour retourner en chevale de guerre pour finir dans sa maison avec son frère, son ami.


Critique personnelle :
J’ai adoré ce film! Il est rempli d’émotion, malgré que le personnage principal est un cheval et que nous ne pouvons pas savoir se qu’il ressent, Steven Speilberg à réussit à nous le faire comprendre grâce à ses magnifiques plans de caméra. Dans ce film ou on peut voir la vie des gens durant la Deuxième Guerre mondiale. Malgré le fait que le réalisateur a enjolivé les choses, ont peu avoir un aperçut de la réalité des gens de l’époque. Le manque d’argent, la vie difficile et surtout l’espoir constant. Je trouve que monsieur Speilberg, est un réalisateur formidable tous ces films ont une vérité, sur laquelle une grande majorité des gens peuvent s’associer. Ces donc l’une des plus grandes raisons pour laquelle, je crois, que Stenven Speilberg est un bon réalisateur. Il sait toucher sont auditoire et il sait comment rapproché le public et sont film.
Cinq éléments du langage cinématographique :
  1. Le très gros plan :
    Lorsque Joe, le cheval, participe à la première attaque de guerre. Un peu le voir lui et sont cavalier poursuivre les Allemands jusqu’à la forêt ou ceux-ci avais cacher des mitrailleuses. Ils se mettent alors à tirer sur leur attaquant, on peut alors voir le canon de la mitrailleuse de très près, ce qui nous signifie que le moment a une importance. (temps : 0 h 59 min 49 s – 0 h 59 min 52 s)
  2. travelling avant :
    Lorsque Albert reçoit la lettre venant du front, ou il fait mention que le sergent qui montait Joe. Est décédé. Albert croit alors que Joe est mort aussi. Il part se réfugier au bord de la clôture des champs, on peut alors voir que la caméra se rapproche du visage d’Albert. Ce qui est un travelling avant. (temps : 1:05:28 – 1:05:37)
  3. la loi du 180 degrés est respecter :
    au moment ou la jeune fille parle avec son grand-père le soir après le passage des militaires. Il regarde les bombes exploser au loin lorsque le grand-père va s’asseoir et la commence les échanges entre la jeune fille et le grand-père. On voit la caméra passer de u grand-père à la jeune fille plusieurs fois et à chaque fois le grand-père est à droit et la jeune fille reste à gauche. (temps : 1 h 24 min 19 s – 1 h 25 min 29 s)
  4. Le plan rapproché épaule :
    Lorsque Joe est repris par les militaires allemands il contribue à monter les canons sur la colline. Ensuite les Allemands chargent les canons et il tire sur la ville. Ont peut alors voir une succession de plan rapprocher sur les visages des militaires de l’autre camp ont termine avec le plan rapprocher épaule d’Albert, qui fais maintenant partie des militaires. Le plan reprocher épaule est une image ou l’on voit du dessus de la tête jusqu’aux épaules. (temps : 1 h 35 min 4 s – 1 h 35 min 25 s)
  5. le plan rapproché taille :
    Lorsqu’un soldat anglais et un Allemand viennent aider Joe quand il est pris dans les barbelés. Une fois le cheval libérer les deux soldats se retrouve de chaque coté du cheval et vont faire pile ou face pour savoir qui vas garder le cheval. On voit alors le plan de caméra qui débute à la taille des hommes jusqu’au-dessus de la tête du cheval. (Temps : 1 h 58 min 22 s – 1 h 58 min 35 s)
signature de Spielberg :
  • effet de reflet : Lorsque la jeune fille découvre les deux chevaux dans le moulin, elle entre et on peut voir le reflet dans les yeux de Joe.
  • Regard hors champs :
  • le contexte : ces un contexte historique qui parle de la Seconde Guerre mondiale.
  • L’histoire parle d’une famille non pas dysfonctionnelle, mais plutôt une famille de fermier en manque d’argent

Steven Speilberg

jeudi 17 novembre 2016

 Vengeance

la série Vengeance démontre toute la haine et la colère du personnage principal. Cette série démontre la volonté, la détermination de vouloir démolir une famille, pour venger la sienne. C’est une série que je qualifierais de noire, a tous les épisodes il y a vengeance. Dans aucun des épisodes, à ce que je me rappelle, il n’y a eu de véritables moments de joie. La série nous apporte dans les bas fonds de l’âme d’Amanda Clarke et pour ma part cela a parfois l’effet de me démoraliser. 

dimanche 6 novembre 2016

wold war Z



Marc Forster, un réalisateur, producteur et scénariste germano-suisse. En 2005, il a eu onze nominations au British Academy of Film and Television Arts. De plus, un de ses film à remporter un oscar en 2004, il s’agit de Neverland. Dans les années 2000 il a eu beaucoup de succès, malgré les hauts et les bas du domaines, Marc est devenue un réalisateur reconnut. Il a eu l'occasion de produire 16 long-métrages, Loungers (1996), La somme de toute chose (2000), À l'ombre de la haine (2001), Neverland (2004), Stay (2005), l'incroyable destin de Harold Crick (2006), Les Cerfs-volants de Kaboul(2007), Quantum of solace (2008), Machine Gun (2011), World War Z (2013), Imagining Nathan (2013), The Runner (2014), Die Bad (2014), Red Rising (2015), The Downslope (2016) et finalement All I See Is You (2016).




World War Z est un film baser sur une apocalypse ou une grande majorité de la population est infectée par un virus créant ainsi des zombies. L’histoire parle de Jerry, un ancien travailleur de l’ONU, et sa famille. Ils tentent de survive à la vague de zombies qui vient de débarquer dans leur ville. Ils sont alors rescapés par les anciens travailleurs de Jerry. En échange de l’asile sur un bateau Jerry doit les aider a trouver un remède ou une solution pour survive à cette attaque. Acceptant le marcher Jerry est alors trimbalé un peut partout dans le monde pour essayer de trouver une solution. Durant ces nombreux voyages, il réussit à observer les zombies. Grâce à ses observations, Jerry se retrouve dans un centre de recherche pour remèdes. Ils créent alors une sorte de virus qui pourrait les sauver. Risquant sa vie et déjouant plusieurs fois le destin, Jerry réussit à trouver un remède pour les survivants. Il peut ainsi retrouver sa famille dans un lieu ou le danger est écarté. Ses découvertes vont alors changer le monde et sauver des milliers de vies.



Je trouve que ce film est un peu trop exagéré. Personnellement je n’ai pas « 'tripé »'. Ce n’est pas un film que j’achèterais et je regarderais encore. Les films d’apocalypse ne sont pas ma force. Par contre, jais beaucoup aimée les moments de suspenses, le choix des acteurs et les choix de lieux. Malgré tout, je trouve qu’il manque un peu de sens, je comprends parfaitement ce qui se passe, mais j’aurais préféré voir la source du virus. Tout au long de l’histoire, on fait mention des premières personnes contaminées, mais on ne connaît jamais l’origine du Virus et je crois que cela aurait pu être une information capitale. Tout se bouscule, les informations, les événements, il n’y pas de pause pour des explications. Avec le petit bout montrer en classe je m’attendais à un peu plus du film et je dois dire que j’ai été déçu.


  1. La scène alternée : (temps : 0 h 16 min 40 s — 0 h 17 min 5 s)
    lorsque Jerry parle au téléphone avec son amie qui travaille pour l’ONU. Lorsque Jerry et sa famille viennent de sortir de l’épicerie. On voit alors la caméra ne changer de personne au moins trois fois durant leur conversation. Elle passe d’un homme à l’autre dans deux situations différentes.
  2. Gros plant : (temps : 0 h 31 min 51 s — 0 h 31 min 51 s)
    lorsque Jerry et sa famille se retrouvent en sécurité sur le bateau. Jerry discute avec le même ami de la scène alterné, la camera s’approche alors pour arriver très proche du visage de Jerry, ce qui nous donne un aperçut de ses états d’âme.
  3. La règle du 180 degrés est respectée (temps : 0 h 55 min 52 s — 0 h 56 min 40 s)
    lorsque Jerry parle avec le représentant d’Israël. Jerry est toujours à gauche et l’autre est toujours à droite. Il ne franchise donc pas la ligne du regard.
  4. Traveling arrière : (temps : 1 h 51 min 55 s — 1 h 52 min)
    lors que Jerry se retrouve dans l’immeuble de recherche. Il réussit à avoir les virus pouvant les sauver et il s’en injecte un pour voir sa théorie et en même temps sauver sa vie. Il marche alors pour aller rejoindre les autres et tous les zombies passe à coter de lui comme s’il n’était pas là. La caméra, lorsqu’on se retrouve face à Jerry, recule de sorte de ne pas le perde de vue.
  5. Plan rapprocher épaule : (temps : 1 h 55 min 41 s — 1 h 55 min 43 s)
    lorsque Jerry retrouve sa famille après sa quête, ils s’enlacent et alors la caméra s’approche d’eux pour capter le visage de lui et de sa femme. On les voit à partir de leurs épeules jusqu’au-dessus de leur tête.  


mardi 1 novembre 2016

Titanic
sortit en 1997
réalisateurs : James Camron

résumer :
Titanic, est l'histoire romancer, du bateau qui à couler, le 15 avril 1912. cette histoire est raconter par Rose une des survivantes de la tragédie. Elle raconte alors sont histoire au chercheur du collier le cœur de la mer. Elle parle alors de sa rencontre avec Jack un homme peut fortuné auquel elle s'est éprise. Elle mentionne tout les détaille de sont aventure extraordinaire d'avoir rencontré Jack et en même temps une aventure éprouvante, car elle à vue de nombreuses personnes périr dans cet incident. Elle raconte que les femmes et les enfants étaient les premiers à monter à bord des embarcations, mais la bourgeoisie avait tout de même une priorité face aux gens qui étaient comme Jack peu fortuné. Plusieurs ont même été enfermés dans une section du bateau pour ne pas qu'ils puissent avoir accès à une embarcation. Ont fini alors l'histoire avec Rose qui remet à la mer le collier tant rechercher, la jeune femme devenue aujourd'hui âgé décède dans son sommeille sur le bateau des chercheurs.


éléments de continuité :
  1. Raccord par analogie : lorsque Rose embarque sur le bateau des chercheurs pour leur raconter la réelle histoire, dans les premiers moments qu'elles passent sur le bateau elle demande de voir son portrait trouvé dans un coffre fort, lui-même trouver dans l'épave du bateau. Elle est alors face au portrait et elle ferme ces yeux on se retrouve donc dans les pensées de la femme ou elle se rappelle le moment ou Jack dessinais ce portrait. (temps : 15:30 — 15:36)
  2. Raccord dans le mouvement : lorsque Rose commence son histoire sur le Titanic, la caméra bouge de sorte que nous voyons l'épave du bateau. Au moment ou il emplit notre écran la cameras monte comme si elle voulait montré le dessus du bateau et au même moment tout le décore change et nous somme rendu en 1912 au moment du départ du Titanic. (temps:21:10-21:15)
  3. la règle des 180 degrés elle est respectée : le moment ou Rose veut sauter du bateau ou elle veut commettre l'acte de ce suicidaire. Jack et elle vont alors avoir une discussion et à chaque fois que la caméra passe de Jack a Rose le personnage de Jack se retrouve toujours plus à droit et celui de Rose toujours plus à gauche. (temps : 38:50 — 29:20)
  4. Raccord regard : lorsque Jack est appeler à manger a la table de Rose et de sa famille pour ainsi le remercier d'avoir sauver la vie de la jeune femme. Jack se retrouve alors en rentrer dans une salle immense remplis de gens noble et riche. Dès son entré la caméra nous montre ce que Jack voit et par la suite ont continué à explorer la salle. (temps : 57:00 — 57:18)
  5. surimpression : lorsque Rose parle avec sa mère après le conflit avec son fiancé, sa mère lui resserre sa robe et en quelque seconde arriver une image pour faire un changement de scène. (temps : 1:14:08 — 1:14:16)
  6. ellipse : quand tous les gens se noient un capitaine de bateaux ordonne a toutes les femmes de changer d’embarcation pour avoir un canot de libre pour essayer de sauver des gens, une minute après tout le monde sont morts et on arrêter de siffler et de crier a l'aide. (temps : 2:49:22 — 2:49:30)
  7. ellipse : lorsque Rose vient d'être repêché et qu'il attende pour avoir des secours, un en quelque seconde ces l'aurore et un navire approche pour les secourir. (temps : 2:59:18 — 2:59:36)


Mouvement de caméra :
  1. plan rapprocher épaule : lorsque Rose regarde l'écran sur le quelle on montre l'intérieur de l'épave du Titanic. On se retrouve alors sur l'épaule de Rose en train de regarder l'écran. (temps : 19:39 — 19:46)
  2. travelling avant : lorsque Rose vient rejoindre Jack sur le pont après que la famille de Rose lût interdis de revois Jack. Ils sont alors sur le pont du bateau et Jack fait monter Rose sur la première barre de la clôture et il la positionne dans la fameuse position de l'ange. À ce moment la caméra se retrouve au-dessus de la mer de manière à voir le bateau de face avec un léger angle. La caméra avance alors ver jack et Rose que sont au bout de celui-ci. (temps : 1:21:46 — 1:21:50)
  3. caméra à l'épaule:lorsque Rose chercher désespérément de l'aide pour sauver Jack qui est menotté à un potto dans le couloir du personnel. L'eau monte de plus en plus et bientôt il sera enseveli sous l'eau glaciale. Au moment ou Rose cherche de l'aide la caméra se positionne à la place de la tête de Rose et nous agissant comme elle si elle court nous courons. (temps:2:02:46-2:02:50)
  4. traveling arrière : encore le lorsque Rose cherche de l'aide pour sauver Jack nous voyons la camera suivre la course de Rose de face. (temps:2:02:53-2:02:56)
  5. traveling circulaire : au moment ou Rose meurt, elle retrouve Jack dans sont dernier rêve au moment ou elle se retrouve face à face avec lui, la caméra fait une demie tour autour d'eux. (temps:3:06:52-3:07:04)

critique personnelle :

Ce film me révolte, à chaque fois que je le regarde je pleure. Par contre je ne pleure pas à cause de la charmante histoire d'amour ou Rose perd son bien aimé. Mais je pleure à la vue de tout les morts que ce naufrage a causées. Je pleur de frustration de voir tant de méchanceté les uns envièrent les autres. Je trouve son absurde d'envoyer un bateau pouvant contenir un aussi grand nombre de personnes, mais pas assez de canot de sauvetage pour tout le monde. De plus ce qui me révolte le plus est de voir que toutes les personnes nobles se foutent des autres et qu'ils veulent juste sauver leur peau. Parfois même ils payent des gens pour avoir ce qu'ils veulent, mais ceux qui non pas c'est moyen doivent ce contenté de peu et même dans des tragédies comme celle-là. Il n'y a donc aucune égalité ou fraternité. 

mercredi 26 octobre 2016

  Sue Thomas l’œil du F.B.I


la série de Sue Thomas est une série policière que j’ai adorée. Elle est basée sur la vie d’une agente du F.B.I, qui est malentendante. Malgré cette handicape, elle réussit à faire une brillante carrière dans le domaine policier. Cette série m’a touché et je trouve exceptionnel le parcoure de cette femme. Elle nous montre que peut importe nos différences ont peut toujours arriver à nos fins. Par contre il faut parfois se battre pour accomplir notre volonté. 
  

lundi 26 septembre 2016

Le Revenant















Le  film de cette année que j’ai le plus appréciée pour la qualité et pour les acteurs est Le Revenant. Un film de Alejandro Gonzalez Inarritu, paru le huit janvier de cette année. 



Ce  film m’a beaucoup touchée pour les émotions que j’ai ressenties. Dans ce film, on peut voir tous les sentiments du personnage principal à l’état brut. Cela est comme si c’était nous qui vivions le moment. Durant tout le film, il y a eu peu de paroles, mais tellement d’information divulguée. On y retrouve la vraie réalité d’autrefois avec la traite de fourrure, la dureté de la vie, le mélange des ethnies et la guerre. Personnellement, j’aime voir un film qui a du vécu un film qui est présenté pour dire quelque chose, pour montrer des événements qui se sont déjà passés. J’apprécie aussi le fait que le réalisateur n’embellit pas la réalité. Il montre des images crues, froides et violentes ainsi, il démontre, aux spectateurs, la réalité de l’époque du film. Il se pouvait, de voir ces choses là arriver.




Pour ceux qui n’ont jamais vu ce film, je vais vous raconter un peu l’histoire. C’est l’histoire de Hugh Glass, un homme, qui travaille en récoltant des fourrures. Pour après, les revendes. Il est accompagné de son fils Hawk, un métis. Enfant d’un homme anglais et d’une femme amérindienne, celui-ci est très mal vu des autres hommes qui travaillent avec son père. Attaquer par un groupe d’amérindien, les survivants doivent partir en forêt pour essayer de ramener les fourrures au camp de base. Par contre, des obstacles vont les amener à devoir séparer le petit groupe pour des raisons de survie. Dans le groupe de Hugh et de Hawk, les ours, les meurtriers, les menteurs et les hommes de déshonneur sont de la partie. Un est tué et caché, l’autre, est enterré vivant. Hugh doit alors se battre pour sa vie et Hawk... 


Les caractéristiques :*1* le plan rapprocher épaule : Quand Léornard DiCaprio « Hugh » est en position de surveillance sur le bâteaux au côté de son fils. Juste après la guerre avec les Amérindiens. (temps : 13 min 20 s à 13 min 22 s)
*2* le plan rapprocher taille : Quand le capitaine soigne un de ses soldats sur le bateau après cette même guerre avec les Amérindiens. (temps : 13 min 30 s à 13 min 35 s)
*3* Vues contre plongée : Lorsque Léonardo marche seul dans les bois après que l’équipe ait laissé le bateau. Pour échapper aux Amérindiens. (temps : 23 min à 23 min 20 s)
*4* le gros plan : lorsque Léonardo se fait attaquer par l’ours. Au moment ou l’ours arrête de l’attaquer pour la première fois avant qu’il se rebatte.  (temps : 24 min 11 s à 24 min 15 s)
*5* le traveling avant : lorsque le groupe on fait un campement, la caméra s’approche de Léonardo et de son fils, alors qu’il est gravement blessé. (temps : 40 min 1 s à 40 min 12 s)
*6* Le plan de grand ensemble : Juste après que les autres l’est abandonner Léonardo se traine pour boire de l’eau à la rivière et alors la coupure à son coup se rouvre. Il va la refermer et tout de suite après nous avons une grande vue sur les montagnes. (temps : 1 h 7 min 25 s à 1 h 7 min 30 s)
*7* le traveling latéral : Lorsque Léonardo sort du cheval après une attaque. Il marche en pleine neige. (Temps : 1 h 55 min 52 s à 1 h 60 min 0sec)
*8* le champ-contrechamp : Lorsque le Capitaine retrouve Léonardo, il met ses mains autour du visage de Léonard. Nous avons donc un champ-contrechamp (temps : 1 h 59 min 39 s à 1 h 59 min 44 s)
*9*le panoramique vertical : Lorsque le Capitaine et Léonardo se mettent à la recherche du meurtrier de Hawk. Le Capitaine meurt et on voit la caméra montée ver Léonardo. (temps : 2 h 11 min 30 s à 2 h 11 min 36 s)
*10* la vue en plongé : Lorsque Léonardo se bat contre le meurtrier de son fils à la fin du combat Léonardo surplombe l’autre avant de finalement le laisser aller avec la rivière.  (temps : 2 h 21 min 12 s à 2 h 21 min 24 s)






lundi 19 septembre 2016

Charlie Chaplin est un grand pionnier du cinéma burlesque. Il a mis en place plusieurs caractéristiques de notre cinéma d’aujourd’hui. Il s’est démarqué dans plusieurs domaines dont sa gestuelle, qui en a marqué plus d’un, ses mimiques faciales et bien sur son talent pour composer sa musique et ses longs-métrages. Comme, par exemple, dans ses longs-métrages : L’opinion publique (1923), La ruée vers l’or (1925), Le cirque (1928), les lumières de la ville (1931) et son premier et non le moindre «the kid » (1921).

Le long-métrage « the kid » est une histoire touchante et pleine de rebondissements. Que personnellement j’ai adoré! Malgré mon habitude à écouter des films ayant de l’action, j’ai été merveilleusement surprise de voir ce récit qui démontre de la douceur dans autant d’absurdité. Je trouve cela fascinant de voir tout ce que l’on peut faire sen nécessairement parler. Dans ce long-métrage, il n’y a aucune parole, mais on peut très bien suivre le cours de l’histoire et cela grâce à la gestuelle des personnages qui nous font clairement comprendre ce qui se passe. De plus, il y a aussi leurs visages qui montrent toutes les émotions qu’ils peuvent éprouver et juste avec cela toute l’histoire prend de son sens. Pour ma première expérience avec les films muets, je n’ai pas été déçu et même loin de là. Je trouve plaisent de pouvoir regarder tout simplement et de comprendre parfaitement, cela me fascine. Pour terminer, je crois que ce film est l’un des meilleurs pour décrire que l’argent ne fait pas le bonheur.


Dans ce récit, on voit le personnage d’une jeune femme qui va abandonner son jeune garçon dans une voiture appartenant à des gens bien plus fortunés qu’elle. Selon elle, cela est la meilleure solution pour donner à son fils une vie meilleure que ce quelle peut lui donner. Par contre le véhicule se fait voler avec l’enfant à l’intérieure. Les bandits ne savent que faire du bambin, le laissent au bord de la route. Ces à ce moment que l’on peut faire la rencontre du personnage de Charlot, un simple vitrier. Passent devant l’enfant celui-ci ne peut le laisser, alors il le prend et essaye de lui trouver quelqu’un d’autre pour s’en occuper. Malgré ses efforts il ne parvient pas à lui trouver une famille, alors il décide de le garder avec lui. Ces à se moment, que la vie de ce simple vitrier va changer et que l’aventure va commencer.





Ce film comporte plusieurs caractéristiques du cinéma burlesque en voilà quatre :
* la rapidité des mouvements : lorsque le petit garçon casse une vitre et qu’il se met à courir, ses jambes bougent plus vite que la normale. ( temps : 15 min 35 s jusqu’à 15 min 38 s)
*l’insertion du running gag : lorsque Charlot repose une fenêtre que son ''fils'' à briser, il lance à trois reprises de la saleté par dessus son épaule et cela atterrit sur le visage du policier qui est derrière lui. (temps : 16 min 50 s jusqu’à 16 min 55 s)
*ridiculisé l’autorité : lors du combat entre Charlot et le policier lorsqu’ils sont des anges. (temps : 50 min 49 s jusqu’à 50 min 59 s)
*le slapstick : lorsque Charlot se bat avec l’autre homme, il lui donne un coup de pied au derrière. (temps : 30 min 20 s jusqu’à 30 min 30 s)