lundi 26 septembre 2016

Le Revenant















Le  film de cette année que j’ai le plus appréciée pour la qualité et pour les acteurs est Le Revenant. Un film de Alejandro Gonzalez Inarritu, paru le huit janvier de cette année. 



Ce  film m’a beaucoup touchée pour les émotions que j’ai ressenties. Dans ce film, on peut voir tous les sentiments du personnage principal à l’état brut. Cela est comme si c’était nous qui vivions le moment. Durant tout le film, il y a eu peu de paroles, mais tellement d’information divulguée. On y retrouve la vraie réalité d’autrefois avec la traite de fourrure, la dureté de la vie, le mélange des ethnies et la guerre. Personnellement, j’aime voir un film qui a du vécu un film qui est présenté pour dire quelque chose, pour montrer des événements qui se sont déjà passés. J’apprécie aussi le fait que le réalisateur n’embellit pas la réalité. Il montre des images crues, froides et violentes ainsi, il démontre, aux spectateurs, la réalité de l’époque du film. Il se pouvait, de voir ces choses là arriver.




Pour ceux qui n’ont jamais vu ce film, je vais vous raconter un peu l’histoire. C’est l’histoire de Hugh Glass, un homme, qui travaille en récoltant des fourrures. Pour après, les revendes. Il est accompagné de son fils Hawk, un métis. Enfant d’un homme anglais et d’une femme amérindienne, celui-ci est très mal vu des autres hommes qui travaillent avec son père. Attaquer par un groupe d’amérindien, les survivants doivent partir en forêt pour essayer de ramener les fourrures au camp de base. Par contre, des obstacles vont les amener à devoir séparer le petit groupe pour des raisons de survie. Dans le groupe de Hugh et de Hawk, les ours, les meurtriers, les menteurs et les hommes de déshonneur sont de la partie. Un est tué et caché, l’autre, est enterré vivant. Hugh doit alors se battre pour sa vie et Hawk... 


Les caractéristiques :*1* le plan rapprocher épaule : Quand Léornard DiCaprio « Hugh » est en position de surveillance sur le bâteaux au côté de son fils. Juste après la guerre avec les Amérindiens. (temps : 13 min 20 s à 13 min 22 s)
*2* le plan rapprocher taille : Quand le capitaine soigne un de ses soldats sur le bateau après cette même guerre avec les Amérindiens. (temps : 13 min 30 s à 13 min 35 s)
*3* Vues contre plongée : Lorsque Léonardo marche seul dans les bois après que l’équipe ait laissé le bateau. Pour échapper aux Amérindiens. (temps : 23 min à 23 min 20 s)
*4* le gros plan : lorsque Léonardo se fait attaquer par l’ours. Au moment ou l’ours arrête de l’attaquer pour la première fois avant qu’il se rebatte.  (temps : 24 min 11 s à 24 min 15 s)
*5* le traveling avant : lorsque le groupe on fait un campement, la caméra s’approche de Léonardo et de son fils, alors qu’il est gravement blessé. (temps : 40 min 1 s à 40 min 12 s)
*6* Le plan de grand ensemble : Juste après que les autres l’est abandonner Léonardo se traine pour boire de l’eau à la rivière et alors la coupure à son coup se rouvre. Il va la refermer et tout de suite après nous avons une grande vue sur les montagnes. (temps : 1 h 7 min 25 s à 1 h 7 min 30 s)
*7* le traveling latéral : Lorsque Léonardo sort du cheval après une attaque. Il marche en pleine neige. (Temps : 1 h 55 min 52 s à 1 h 60 min 0sec)
*8* le champ-contrechamp : Lorsque le Capitaine retrouve Léonardo, il met ses mains autour du visage de Léonard. Nous avons donc un champ-contrechamp (temps : 1 h 59 min 39 s à 1 h 59 min 44 s)
*9*le panoramique vertical : Lorsque le Capitaine et Léonardo se mettent à la recherche du meurtrier de Hawk. Le Capitaine meurt et on voit la caméra montée ver Léonardo. (temps : 2 h 11 min 30 s à 2 h 11 min 36 s)
*10* la vue en plongé : Lorsque Léonardo se bat contre le meurtrier de son fils à la fin du combat Léonardo surplombe l’autre avant de finalement le laisser aller avec la rivière.  (temps : 2 h 21 min 12 s à 2 h 21 min 24 s)






lundi 19 septembre 2016

Charlie Chaplin est un grand pionnier du cinéma burlesque. Il a mis en place plusieurs caractéristiques de notre cinéma d’aujourd’hui. Il s’est démarqué dans plusieurs domaines dont sa gestuelle, qui en a marqué plus d’un, ses mimiques faciales et bien sur son talent pour composer sa musique et ses longs-métrages. Comme, par exemple, dans ses longs-métrages : L’opinion publique (1923), La ruée vers l’or (1925), Le cirque (1928), les lumières de la ville (1931) et son premier et non le moindre «the kid » (1921).

Le long-métrage « the kid » est une histoire touchante et pleine de rebondissements. Que personnellement j’ai adoré! Malgré mon habitude à écouter des films ayant de l’action, j’ai été merveilleusement surprise de voir ce récit qui démontre de la douceur dans autant d’absurdité. Je trouve cela fascinant de voir tout ce que l’on peut faire sen nécessairement parler. Dans ce long-métrage, il n’y a aucune parole, mais on peut très bien suivre le cours de l’histoire et cela grâce à la gestuelle des personnages qui nous font clairement comprendre ce qui se passe. De plus, il y a aussi leurs visages qui montrent toutes les émotions qu’ils peuvent éprouver et juste avec cela toute l’histoire prend de son sens. Pour ma première expérience avec les films muets, je n’ai pas été déçu et même loin de là. Je trouve plaisent de pouvoir regarder tout simplement et de comprendre parfaitement, cela me fascine. Pour terminer, je crois que ce film est l’un des meilleurs pour décrire que l’argent ne fait pas le bonheur.


Dans ce récit, on voit le personnage d’une jeune femme qui va abandonner son jeune garçon dans une voiture appartenant à des gens bien plus fortunés qu’elle. Selon elle, cela est la meilleure solution pour donner à son fils une vie meilleure que ce quelle peut lui donner. Par contre le véhicule se fait voler avec l’enfant à l’intérieure. Les bandits ne savent que faire du bambin, le laissent au bord de la route. Ces à ce moment que l’on peut faire la rencontre du personnage de Charlot, un simple vitrier. Passent devant l’enfant celui-ci ne peut le laisser, alors il le prend et essaye de lui trouver quelqu’un d’autre pour s’en occuper. Malgré ses efforts il ne parvient pas à lui trouver une famille, alors il décide de le garder avec lui. Ces à se moment, que la vie de ce simple vitrier va changer et que l’aventure va commencer.





Ce film comporte plusieurs caractéristiques du cinéma burlesque en voilà quatre :
* la rapidité des mouvements : lorsque le petit garçon casse une vitre et qu’il se met à courir, ses jambes bougent plus vite que la normale. ( temps : 15 min 35 s jusqu’à 15 min 38 s)
*l’insertion du running gag : lorsque Charlot repose une fenêtre que son ''fils'' à briser, il lance à trois reprises de la saleté par dessus son épaule et cela atterrit sur le visage du policier qui est derrière lui. (temps : 16 min 50 s jusqu’à 16 min 55 s)
*ridiculisé l’autorité : lors du combat entre Charlot et le policier lorsqu’ils sont des anges. (temps : 50 min 49 s jusqu’à 50 min 59 s)
*le slapstick : lorsque Charlot se bat avec l’autre homme, il lui donne un coup de pied au derrière. (temps : 30 min 20 s jusqu’à 30 min 30 s)